Sherlock Holmes : le chien des Baskerville

Bonjour ! Dans cet article, je te retrouve avec le roman de Sir Arthur Conan Doyle : Sherlock Holmes, le chien des Baskerville.

 

Titre original : The Hound of Baskerville

Auteur : Sir Arthur Conan Doyle

Edition : Le Livre de Poche (2015)

Première parution : 1902

Pages : 192

 

 

 

Plus l’on reste ici, plus l’esprit de la lande insinue dans l’âme le sentiment de son infini et exerce son sinistre pouvoir d’envoûtement. 

• Une bête féroce rôde dans la lande…

Une malédiction pèse sur les Baskerville, qui habitent le vieux manoir de leurs ancêtres, perdu au milieu d’une lande sauvage : quand un chien-démon, une bête immonde, gigantesque, surgit, c’est la mort.
Le décès subit et tragique de Sir Charles Baskerville et les hurlements lugubres que l’on entend parfois venant du marais, le grand bourbier de Grimpen, accréditent la sinistre légende.
Dès son arrivée à Londres, venant du Canada, Sir Henry Baskerville, seul héritier de Sir Charles, reçoit une lettre anonyme : « Si vous tenez à votre vie et à votre raison, éloignez-vous de la lande. » Malgré ces menaces, Sir Henry décide de se rendre à Baskerville Hall, accompagné de Sherlock Holmes et de son fidèle Watson.

À travers les yeux du Dr. Watson, nous suivons une des fameuses aventures du célèbre détective Sherlock Holmes. Nous sommes transportés au Sud-Ouest de l’Angleterre, plus précisément dans le Dartmoor. Le docteur Watson a pour mission de veiller sur Sir Henry Baskerville, un jeune homme costaud qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. La lettre anonyme ne le rebutant pas, il décide de se rendre dans l’ancien manoir de ses ancêtres. Arrivés sur place, les deux hommes sont confrontés à un endroit triste et mélancolique.
Petit à petit, des événements viennent rajouter du mystère à l’enquête. Le cadre sombre et mystérieux de la lande amplifie l’angoisse ainsi que la sensation de menace qui plane au-dessus de Sir Henry Baskerville. Plusieurs suspects apparaissent, et on vit les doutes que le docteur éprouve envers les proches de l’héritier.

• Watson prend la place du détective

Sherlock Holmes est absent durant une bonne partie du récit. C’est donc Watson qui mène l’enquête, en cédant régulièrement des rapports à Sherlock Holmes, resté à Londres. Le docteur est en pleine action, il exerce les filatures, les interrogatoires… Pour lui, la thèse du chien démon est une fabulation. Pourtant, les cris lugubres qui résonnent depuis le marais nous disent le contraire… Que se cache-t-il derrière cette légende ?
C’est ce qu’on découvre au terme de l’enquête. Le détective et son ami sont déterminés à démontrer que la menace envers Sir Henry Baskerville n’est pas un démon remonté des enfers.

• Conclusion

J’ai eu plaisir à lire ce livre. En même temps que le narrateur, j’aime assembler les indices trouvés au fil de l’histoire. Quand je l’ai lue, j’ai tenté de lire entre les lignes, d’observer l’action ou la parole qui pourrait me mener vers le dénouement. De plus, j’adore la façon dont Sherlock Holmes, à l’aide des indices, réussi à résoudre les énigmes qui se posent à lui et la manière dont il explique à Watson son résonnement à la fin du livre.

Pour conclure, si vous ne l’avez pas encore lu, je vous le recommande. Il est facile à lire et j’ai vraiment été absorbée par l’intrigue. De mon côté, je continue avec Le signe des quatre !

J’espère que cet article t’aura donné envie de lire Le chien des Baskerville. 

Bonne lecture !

Raegan.